TAOR a pour principe d’assainir le sang, par stimulation des organes qui participent à cette fonction, mais surtout par une activité dirigée directement sur le sang, via la lymphe et les liquides biologiques qui baignent notre trame conjonctive. Les plantes choisies pour la confection de ce remède le sont pour leurs propriétés médicinales individuelles en association avec d’autres qui partagent le même objectif final. C’est après bien des essais, tâtonnements, recherches diverses de pharmacodynamie et pharmacognosie que ce mélange a pu prendre forme. Il ne fallait pas à mon avis associer, additionner, des plantes éliminatrices en pensant que l’effet de synergie améliorerait le résultat. Il devenait nécessaire qu’une plante sur une autre ne détermine pas d’incompatibilité par un quelconque constituant phytochimique, phénomène fréquent dans les mélanges à multiples plantes... Ainsi il fallait que chaque espèce retenue apporte son individualité biochimique et puisse permettre avec sureté aux suivantes une action non contrariée. L’intérêt était déjà de choisir une seule et même couleur de fleurs : LE BLANC.
Rappelle en matière de phytothérapie : chaque plante contient divers principes chimiques connus, toutefois les fleurs, et en particulier les pétales, concentrent d’autres constituants bien différents du reste de la plante qui leur en a donné naissance. Toutefois la couleur blanche renferme des actions dynamiques et mimétiques biologiques qui leur sont propres, voire exclusive. TAOR est confectionné avec des plantes dont les fleurs sont blanches, et dont seul les pétales ont été retenus.
Dans l’optique thérapeutique de ce mélange les termes de conjonction et d’effet de somation proposé paraissent plus adéquat, que synergique bien qu’une action de synergie soit établie. Ce remède n’est pas un draineur ou un dépuratif, parce que son activité est dirigée vers l’assainissement. Il ne faut pas en attendre un effet laxatif. De nombreux essais confirment la détoxination des milieux souillés et appauvris, par accroissement de la fonction antitoxique des organes concernés, mais aussi et surtout par action direct du remède sur les toxines. Ainsi TAOR permet la survie des animalcules (Daphnia Magna, Paramécies) en milieu hypo oxygéné et soumisent à divers poisons organiques, inorganiques ou encore de matrices complexes. De même qu’avec des contraintes physiques que sont les radiations UV et la chaleur. La création, la vie, les lois naturelles nous enseignent que cette couleur est en parfaite union avec la pureté. La couleur blanche est associée à une longueur d’onde dans le spectre de la lumière, élément qui déjà intervient dans l’efficacité de la formule..La lumière blanche renvoie la lumière solaire.. Il est connu des botanistes que plus on se dirige vers le nord, plus on rencontrera dans la nature de fleurs blanches. Le choix fixé de 9 fleurs, nous avertit seulement de la signification de ce chiffre dans la relation à la plénitude et cela sans autre attente mystique.
TAOR Remède précieux
TAOR est élaboré avec 9 plantes médicinales toutes différentes et de couleur blanches, choisies et retenues après de longues et minutieuses analyses et observations cliniques adroitement conduites et accumulées. Ainsi au départ 31 plantes aux fleurs blanches étaient sélectionnées et utilisées, après 3 ans, 21 étaient écartées. Par exemple, la fleur blanche de carotte sauvage, annihile l’effet des fleurs blanches de framboisiers sauvages, mais amplifie celle de la mûriers… La tulipe blanche a des propriétés antioxydatives que ne possède pas la rouge, la violette, ni la jaune, et elle n’est pas compatible pour l’activité recherchée avec la fleur blanche de prunier… Cette dernière augmente la solubilisation des précipitations d’indigo (indol) et d’acides gras pas la tulipe. Les fleurs minuscules et éphémères du Plantain lancéolé ont une action sur certains cristaux d’oxalates que ne possèdent pas les pétales de la fleur du lamier. Etc…
D’anciens travaux scientifiques nous apprennent que l’urine des épileptiques et des épuisés intellectuels sont particulièrement toxiques pour les animaux tests comme le lapin ainsi que les poissons de petites tailles, mais ce phénomène l’est aussi à l’égard de Daphnia Magna organisme aquatique, excellent réactif biologique vivant ou bio indicateur connu de tous les laboratoires de toxicologie moderne. J’ai démontré que des dilutions faibles de TAOR ajoutées au milieu aqueux de ces animalcules et en présence de dilution de ces urines pathologiques par rapport à un témoin diminue la toxicité du milieu et produit de facto une diminution de la mortalité de plus de 70 % de l’échantillon de Daphnées, dans une période de temps calculé. C’est bien l’effet direct du produit vis-à-vis des toxines neurogènes produites et éliminées dans les urines de ces malades qui explique cette action. Dans certains cas des urines de migraineux authentiques mon donner les mêmes résultats. Chez des patientes souffrant d’endométriose, lorsque TAOR est dilué à 1% et utilisé ex vivo, les globules blancs neutrophiles (frottis lame-lamelle en chambre humide) retrouvent leur locomotion, phénomène habituellement nettement réduit chez ces dernières. Avec TAOR, les urines de patients riches en acétone perdent beaucoup de leur toxicité. Quant aux toxines urinaires ou sériques du cancéreux et précancéreux : les plus redoutables de toutes, en présence de dilution de TAOR, elles perdent beaucoup leur activité mortelle vis-à-vis des paramécies, organismes microscopiques vivants. Actions fidèles et reproductibles.
Dans le respect de la trinité pharmaceutique :
Qualité - Sécurité - Efficacité
produit fabriqué au canada
TAOR réduit le nombre de globules blancs neutrophiles en lyse sur frottis de sang vivant, tel qu’on les observe en grand nombre chez les hépatiques, les infectés, les asthéniques vrais. L’effet s’établissant non pas par une action dirigée sur les membranes de ces cellules sanguines mais par son activité directe vis-à-vis des toxines. En matière de détoxication, il faut tenir compte d’une loi de physiologie connue depuis les travaux du Professeur Richet sur les poisons et du travail princeps sur les toxines lipophiles de Overton et dont tous les toxicologues en connaissent l’exactitude, à savoir que ‘’plus les corps sont solubles, moins ils sont toxiques’’. Les plantes sélectionnées de TAOR, sont chimiquement riches en groupements hydrophiles rendant les poisons encore plus solubles dans l’eau. Le remède réajuste souvent le comportement psychosomatique inhabituel rencontré chez les hépatiques, atrabilaire, troubles cognitifs légers. Il est judicieux dans certaines stérilités inexpliquées. Chez les électrosensibles. Dans l’intoxication occulte aux amalgames dentaires, syndromes de sensibilisations chimiques multiples, les soudeurs, peintres, locataires de maisons neuves, personnes soumises à des médications suspectes, vapeurs toxiques, etc. Ils existent bien des préparations chélatrices des métaux lourds sur le marché dont l’efficacité n’est plus à démontrer, TAOR agit par d’autres voies et concède une certaine activité qui doit être prolongée avec ces chélateurs puissants, dont il pourra en réduire la répétition.
Sa grande douceur et sa profonde activité doit faire partie des antitoxiques naturels ; par levé de barrage dû à son efficacité sur les sidérations des échanges physiques, biochimiques notamment du tissu conjonctif, permettant même une réinduction trophique facilité ; ainsi certains malades peuvent cicatriser plus rapidement après détoxination. Chez les brûlés, TAOR en usage topique et per os, montre une action nettement sédative, sans aucun doute par l’action surajoutée de la couleur blanche à chacun de ses 9 constituants... Certaines anémies inexpliquées, gammapathies, syndrome myelodysplasique ,myelome dont l’origine toxique n’a jamais été découverte peuvent franchement s’améliorer. Grain de sable dans les rouages de l’homéostasie, bien des remèdes ne parviennent à l’efficacité qu’après une détoxication ciblée.
Rappelons que les composés xénobiotiques sont hydrophobes et ne peuvent être éliminés du milieu qu’après avoir été rendus plus hydrophiles. Ceci est réalisé par une série de réactions enzymatiques en général d’oxydations (enzymes de phase 1). Les toxines qu’elles soient issues du métabolisme, d’usures, de microbes divers, d’accumulations pharmaceutiques ou autres participent à la dégénérescence, à la sclérose, au vieillissement accéléré, à la génotoxicité, la carcinogénicité, à la tératotoxicité. De plus, elles concourent grandement à l’acidification systémique par réduction de la consommation d’oxygène (Laborit). Enfin elles démontrent que des troubles transgénérationnels leurs sont imputables.
à la main
Seuls les plus beaux spécimens de fleurs blanches ont été recueillies, à maturité parfaite et en pleine lumière
en milieu sauvage
Méticuleusement choisies et cueillies en milieu sauvage, éloigné des hommes et de leur pollution
INDICATIONS
Toutes les situations s’accompagnant de saturations toxiniques variées qu’elles qu’en soient l’origine. Programme de décancérisation et post cure de traitement du cancer. Rappelons que le rouage de l’ascension vers un phénotype cancéreux s’établit dans la plupart des cas par accumulation de transformations au sein de cellules saines. L’initiation est donc superposable à la notion d’immortalisation. TAOR permet dans des conditions encore propices un retour à une activité mitotique plus harmonieuse, comme le démontre ses résultats. Grâce à une meilleure sensibilité aux signaux inhibiteurs de croissance, de différentiation, ou de mort cellulaire. TAOR ne modifie pas les paramètres de coagulation. Ni n’exalte le système immunitaire, bien qu’il puisse en assainir les organes centraux imputables à cette fonction. Son activité hors cibles est retrouvée dans l’acné, acné rosacé, baso cellulaire de la peau. Les dystonies du système nerveux sont parfois très impressionnées. La fièvre sine materia . On peut parler de draineur nervin.
Il est des cas où TAOR a permis la diminution de la fuite enzymatique au cours de cytolyse hépatique. Dans la détoxication du système de la régulation de base ou matrice extracellulaire et sa régulation, d’après le concept de Pischinger, il faudra poursuivre longtemps l’usage de TAOR. Il peut être donné avantageusement à la femme enceinte ou susceptible de le devenir, car sa recommandation peut s’inscrire dans un volet d’eugénisme prénatal. Les enfants peuvent y recourir aux doses recommandées ainsi que les vieillards. Pas d’utilisation seulement avec les anticoagulants type antivitamine K. Les tannins annihilent l’effet thérapeutique de TAOR, ainsi que le fer à haut dosage. Pendant et après radiothérapie TAOR peut être utilisé. Un régime riche en fruits et légumes frais et peu animalisé est toujours recommandé.
La posologie est pour l’adulte : de 6 à 8 gouttes dans un verre d’eau de source. À boire par petites gorgées tout au long de la matinée. Par cure de 3 semaines, à renouveler 2 à 3 fois au cours de l’année.
Chez l’enfant à partir de 2 ans : 3 gouttes par jour, pour les mêmes périodes.